Author: Roger Roy

Lutte contre les nuisances sonores de l’Hôpital de la Roseraie : la Mairie d’Aubervilliers met en demeure l’établissement

Depuis 2006, les riverains de la rue des Écoles subissent des nuisances sonores persistantes en provenance de l’Hôpital de la Roseraie. Malgré les alertes répétées et une étude acoustique confirmant l’impact sanitaire du bruit, aucune action corrective concrète n’a été engagée par l’établissement. La situation s’est même aggravée depuis décembre 2022, avec un bruit continu jour et nuit. Une situation alarmante confirmée par une étude acoustique Un rapport mis à jour le 15 octobre 2024 par l’agence Enexco valide la légitimité des plaintes des riverains. Ce document met en évidence le dépassement des seuils réglementaires et les conséquences directes sur la santé publique. Pourtant, aucune mesure réelle n’a été mise en place malgré un engagement précédent de l’hôpital fixant la date limite d’action au 15 décembre 2024. Des manquements graves à la réglementation Outre les nuisances sonores, l’hôpital est confronté à de sérieuses difficultés financières, ayant entraîné une cessation de paiement et une condamnation pour travail dissimulé. Abdelhak Oumeraci, délégué CFDT, déclare que l’établissement a été condamné à verser trois millions d’euros d’arriérés de salaires …

« Hôpital de la Roseraie : Le Poison des Radiations Sonores : 26 Mois de Nuisances – Il est Temps d’Agir »

Les nuisances sonores sont une pollution invisible, mais leur impact est bien réel. Depuis 26 mois, notre quartier subit une exposition continue aux radiations sonores générées par l’hôpital de la Roseraie. Stress permanent, troubles du sommeil, fatigue chronique… Ces nuisances ont été scientifiquement prouvéespar une étude acoustique, confirmant que les seuils réglementaires sont dépassés. Pourtant, rien n’a été fait.L’administration tarde à fournir l’étude acoustique rectifiée.L’hôpital continue d’ignorer les riverains. Nous refusons de rester passifs face à cette situation ! UNICIVI.ORG exige :✔ La transmission immédiate du rapport acoustique rectifié.✔ Un plan d’action concret pour stopper ces nuisances.✔ Une mise en conformité immédiate de l’hôpital. Si aucune action n’est prise sous 15 jours :Nous saisirons les autorités compétentes pour contraindre l’hôpital à respecter la loi.Nous lancerons une campagne médiatique pour exposer ce scandale.Nous mobiliserons les riverains pour que cette situation ne soit plus ignorée. Les nuisances sonores ne sont pas une fatalité. Elles doivent cesser !  UNICIVI.ORG | Agir pour un cadre de vie sain et respectueux #RadiationsSonores #26MoisDeMépris #SantéEnDanger #StopAuBruitPoison #TransparenceMaintenant

Un Canadien à Aubervilliers : un projet brisé par la réalité locale d’Aubervilliers :

Un Canadien à Aubervilliers : un projet brisé par la réalité locale Je suis un ressortissant canadien de 47 ans, passionné par la culture française depuis l’enfance, ce qui m’a conduit à m’installer en France en 2003 pour y exercer ma profession dans les métiers de l’image (montage vidéo, photographie). En 2006, je suis arrivé à Aubervilliers avec un projet ambitieux : créer un lieu d’échange artistique et culturel en utilisant des matériaux écologiques. Mon intention était de contribuer au dynamisme local en attirant des professionnels de l’image dans la ville. Mais dès mon installation, j’ai été confronté à une réalité bien différente. Mon projet a été qualifié de « spéculation immobilière » par la mairie, et ma vie dans cette ville s’est progressivement transformée en un combat quotidien contre des dysfonctionnements persistants, souvent inimaginables pour un Québécois fraîchement arrivé. Un quotidien accablant Aubervilliers, une ville limitrophe de Paris, souffre de nombreux problèmes qui minent la vie de ses habitants : Insécurité et nuisances publiques : Dealers omniprésents, bruits nocturnes incessants, incivilités permanentes, et une …

« Plus personne ne sort après 20 heures » : un an après l’agression mortelle de Zhang Chaolin, la communauté chinoise d’Aubervilliers vit toujours dans la crainte

Il y a un an, Zhang Chaolin mourait après avoir été agressé à Aubervilliers. Si l’affaire a révélé l’ampleur des violences racistes contre la communauté chinoise, celle-ci continue à vivre la peur au ventre, malgré les moyens mis en œuvre. « Je ne peux plus sortir à Aubervilliers sans me retrouver face à mes agresseurs. » Pour offrir un hamburger à sa fille, Dominique He a pris le métro puis marché une dizaine de minutes, boudant le fast-food de sa commune au profit d’un établissement parisien, situé de l’autre côté du périphérique. « Dès que je mets le nez dehors, j’ai peur de me faire passer à tabac et qu’on me vole mes affaires », explique ce Chinois installé à Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis, depuis une dizaine d’années. Le visage cerné par des nuits sans sommeil, le quadragénaire raconte son agression la plus violente, parmi la dizaine dont il a déjà été victime. « Des hommes m’ont frappé sur le visage, particulièrement les yeux. » C’était en 2016 et il a cru mourir. Son histoire fait écho à celle de Zhang Chaolin, mort il y a tout juste un an. Le 7 août 2016, trois hommes projettent le …