Aubervilliers : le Chat culotté et les Flamands roses
À Aubervilliers, les maires successifs de gauche se sont toujours comportés comme des despotes, considérant leur opinion comme la plus haute. Tout autre avis était exclu, son auteur considéré comme un adversaire politique à abattre par tous les moyens. – … « une virgule en dehors de Benoit Hamon et c’est le précipice de l’extrême droite » -. Cette politique de la gauche locale, mielleuse et fielleuse dans ses expressions, a tout fait pour empêcher le débat démocratique. Elle maintenait coûte que coûte sa rhétorique au-dessus du réel, n’hésitant pas à culpabiliser les contradicteurs lorsqu’elle était mise face à ses « accommodements« . De fait, la ville était tenue par la gauche radicale « islamo-compatible », celle-là même qui jette l’opprobre sur l’ensemble de la classe politique Française, déjà très ringardisée par sa peur du bruit des bottes… Aujourd’hui, même si la mandature politique a changé, la peur de « faire le jeu du populisme » demeure puissante :* »le réel ne peut être mentionné qu’à condition de ne pas faire le jeu de… » La pensée collective est congelée, elle n’est pas encore plurielle, on craint …